Critique

[Critique ciné] A Hologram for the King: on a connu Tom Tykwer plus inspiré

Tom Hanks dans A Hologram for the King, de Tom Tykwer. © DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Tom Hanks, en représentant américain fatigué, est envoyé en Arabie saoudite afin de tenter de se refaire.

Adapté du roman éponyme de Dave Eggers, A Hologram for the King envoie un représentant américain fatigué (Tom Hanks) en Arabie saoudite, afin de tenter de se refaire en vendant un programme de communication virtuelle à un puissant monarque. On a déjà connu Tom Tykwer (Lola Rennt, The International) plus inspiré que dans ce film qui, s’il joue avec un certain bonheur du choc des cultures, évoquant lointainement Lost in Translation, s’enlise non moins inexorablement à mesure qu’il s’égare entre ses différents enjeux. Sentiment culminant lorsque le scénario double maladroitement la tentative de reconstruction personnelle d’une histoire d’amour à ce point improbable que le réalisateur ne semble guère plus y croire que le spectateur, l’expédiant en deux coups de cuiller à pot…

De Tom Tykwer. Avec Tom Hanks, Alexander Black, Sarita Choudhury. 1h38. Sortie: 14/09. **(*)

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