Critique

Balada triste de trompeta

DRAME | Révélé il y aura bientôt 20 ans par Action Mutante, Alex de la Iglesia s’est ensuite imposé comme le tenant d’un cinéma où horreur, humour noir et outrance font assurément bon ménage. Il n’en va pas autrement de ce nouveau film qui remonte aux heures sombres du franquisme en Espagne.

DRAME | Révélé il y aura bientôt 20 ans par Action Mutante, Alex de la Iglesia s’est ensuite imposé comme le tenant d’un cinéma où horreur, humour noir et outrance font assurément bon ménage. Il n’en va pas autrement de ce nouveau film qui remonte aux heures sombres du franquisme en Espagne, alors que 2 clowns s’affrontent pour les beaux yeux de Natalia, trapéziste et compagne de l’un d’eux… Avec cette rivalité pour toile de fond, Iglesia croise le souvenir de The Unknown, de Tod Browning, à un cauchemar sorti tout droit des années de dictature. Mais si la mise en scène est régulièrement virtuose, le cinéaste lâche trop la bride d’un scénario déjanté, son film basculant dans l’hystérie aussi sûrement que dans la confusion à mesure que s’y déploie sa vision déchaînée.

J.F. PL.

BALADA TRISTE DE TROMPETA, DRAME DE ALEX DE LA IGLESIA. AVEC CARLOS ARECES, ANTONIO DE LA TORRE, CAROLINA BANG. 1 H 50. SORTIE: 22/06.

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