Critique

All That I Love

CHRONIQUE | Pologne, 1981. Le syndicat Solidarnosc fait souffler un vent de contestation contre le pouvoir communiste qui lui oppose les armes classiques des régimes totalitaires: la répression, assortie de la loi martiale.

CHRONIQUE | Pologne, 1981. Le syndicat Solidarnosc fait souffler un vent de contestation contre le pouvoir communiste qui lui oppose les armes classiques des régimes totalitaires: la répression, assortie de la loi martiale. Ces événements, annonciateurs de bouleversements majeurs, All That I Love les évoque, à 30 ans de distance, par le prisme d’une chronique adolescente. Soit l’histoire de Janek, un ado d’une petite ville portuaire dont le présent se confond avec le No Future qu’il hurle dans son groupe punk, Atil (d’où le titre du film). Et qui, à l’heure des premières amours, va aussi devoir composer avec les choix délicats qu’impose un contexte politique mouvant… Au départ de ces arguments, Jacek Borcuch signe un film attachant, qui a pour lui l’authenticité, le charisme indéniable de Mateusz Kosciukiewicz, et la ferveur rageuse des brûlots qu’assène son groupe, mais qui échoue malheureusement à transcender un scénario quelque peu plan-plan et une mise en scène transparente.

J.F. PL.

ALL THAT I LOVE, CHRONIQUE DE JACEK BORCUCH. AVEC MATEUSZ KOSCIUKIEWICZ, OLGA FRYCZ, JAKUB GIERSZAL. 1 H 35. SORTIE: 23/11. **

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