1er jour à Venise: Des toiles et des tuiles

© DR

En guise de première toile à la Mostra de Venise, notre journaliste n’a eu droit qu’à une grosse tuile: un film manqué à cause d’un retard d’avion, et surtout l’interview qui allait avec. On se rattrapera.

Si tant est que le la d’un festival soit donné par le premier film que l’on y voit, on a craint un instant que cette 67e Mostra ne se révèle d’un blanc immaculé. Non celui de la pierre marquant une édition d’exception, mais celui de la page restée vierge, faute de grain à moudre.

C’est qu’en guise de première toile, on a eu droit à une première tuile, conséquence d’un retard inopiné et inexpliqué à l’allumage (merci SN Brussels Airlines), qui nous envoyait au Lido non a l’heure escomptée, mais au moment même où defilaient les premières images de Machete, trop tard donc pour pouvoir assister à l’explosion d’hémoglobine promise.

Rien de fondamental, sans doute, ni d’irrémédiable dans l’absolu (des séances de rattrapage sont prévues), encore que. Dans la foulée, c’était aussi la perspective de rencontrer Jessica Alba qui s’envolait, l’actrice ne restant au Lido que le temps d’un soupir, celui du festivalier à l’enthousiasme vacillant.

En guise de lot de consolation, on eut bien droit à un entretien collectif avec Robert Rodriguez, le realisateur dudit Machete. Et de rejoindre le rendez-vous non sans une pensée pour The Killer Inside Me, de Michael Winterbottom…

Et voilà le trailer de Machete:

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Par Jean-Francois Pluijgers

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