Critique

[Critique ciné] La Finale, une comédie lourdingue et manipulatrice

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMEDIE | Après Brillantissime et Mme Mills, le cinéma français populaire poursuit avec enthousiasme sa culture du navet hors-sol.

[Critique ciné] La Finale, une comédie lourdingue et manipulatrice

Rions un peu avec la maladie d’Alzheimer! Prenez un papy qui oublie tout, y compris ses proches. Associez-lui un petit-fils basketteur qui doit disputer une importante finale à Paris. Mettez-les tous deux en chemin vers la capitale, dans un parcours semé d’obstacles et plus encore de bons sentiments. Plongez le tout dans une marinade bien démagogique et vous obtiendrez une comédie lourdingue et manipulatrice, sonnant archi-faux et où Thierry Lhermitte est aussi peu crédible en grand-père diminué que Rayane Bensetti en sportif de haut niveau. Le cinéma français dit populaire tient la grande forme: après Brillantissime et Mme Mills, il poursuit avec enthousiasme sa culture du navet hors-sol.

De Robin Sykes. Avec Rayane Bensetti, Thierry Lhermitte, Émilie Caen. 1h30. Sortie: 28/03. *(*)

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